L’écharpe blanche

 

Au fond de la mer, la vie est légère

Roman d’introspection

 

À quarante-quatre ans, Piero est inapte au travail, parce que malheureux. Au village, il est « Repacho », le disjoncté qui parle bizarrement. Piero ne ferait de mal à personne, pas même à une mouche, il lutte seulement contre les tracas du quotidien : les disputes continuelles avec son épouse Bella ; les fréquents heurts avec les autres villageois, toujours prêts à se moquer de lui ; le trouble provoqué par les belles Milanaises en vacances. Bref, le temps passe entre une foultitude d’obsessions et une mélancolie incontrôlable. Mais le plus fabuleux, c’est ce qui se passe dans sa tête, où il fait et refait le monde avec un langage bariolé et des mots qui se suivent à l’infini… Jusqu’à arriver, comme dans une spirale infernale, au cœur du problème, ce par quoi tout est arrivé : la mère. Piero rêve de revanche sur la vie, laquelle prend les traits d’une fuite vers le nord du pays, un endroit mythique où tous ses problèmes seraient enfin réglés. Mais en attendant, ici, dans ce village de culs-bénits, celui que tout le monde appelle Repacho ourdit sa petite vengeance : le jour de Noël, qui est le plus triste de l’année pour lui, il décide de dérober la crèche de l’église. Un récit tragi-comique raconté à la première personne sous la forme d’un long monologue, où les ombres du passé viennent se mêler à la gaucherie touchante d’une aventure inclassable.


L’écharpe indigo

 

Ecchymoses

Thriller

 

Août 2018. L’ombre se déplace silencieusement et observe l’homme se vider comme un porc. La souffrance est abominable : il hurle, il bave, il supplie. C’est l’ultime image qu’elle veut garder de lui : la bête enfin à terre. Elle claque la porte, laissant derrière elle ce corps martyrisé à mort et ce numéro tracé avec le sang de la victime sur la glace de la salle de bains. Ce chiffre marqué au fer rouge en appellera d’autres.
Qui est cette ombre devenue Diane vengeresse ? Quel événement a conduit une femme bien sous tous rapports à basculer dans la folie meurtrière ?
Habitée par une rage destructrice qui l’a poussée à mettre à mort le bourreau de son enfance, puis tous ceux qui ont été complices de ses abus, cette femme dévouée et respectée de tous n’est cependant pas seule dans son combat. Aux quatre coins du monde, un groupe au passé commun pourchasse en effet les ogres dévoreurs d’enfants.
Pour comprendre les circonstances de cet abominable assassinat, dans une France transformée en terrain de chasse, les enquêteurs Hadrien Servier et Franck Freda devront plonger dans une histoire familiale aux secrets terrifiants.
Un jeu du chat et de la souris se met alors en place afin de mettre au jour la vérité. Mais à quel prix ?


L’écharpe blanche

 

Les étoiles ne piquent pas

Récit

 

Dans une narration à fleur d’âme empreinte de force et d’authenticité, Alexandre convie le lecteur à partager ses pensées les plus intimes. Ce récit d’introspection offre une plongée dans les eaux profondes de la paternité avec ses joies et ses épreuves et toujours en filigrane le pouvoir guérisseur de l’amour.
Un adieu déchirant, une célébration de la vie et un hommage poignant à un fils devenu étoile. Ce livre est un testament à la mémoire d’un enfant, un chemin de lutte et de lumière où les larmes cèdent la place à l’espoir et où la mort n’est pas une fin, mais une ode à la vie. Persistante au-delà de l’absence.


L’écharpe rouge

 

Gustavo

Roman

 

Le psychothérapeute Gustavo Gemini est en proie à de multiples tourments et voit son équilibre mental vaciller.
En pleine quête identitaire qui se déroule de Florence aux remparts de la cité malouine, Gustavo réalise que tout peut basculer en un instant et beaucoup d’évènements vont d’ailleurs le confirmer.
« J’ai vu les plus grands esprits de ma génération détruits par la folie », a hurlé le poète américain Allen Ginsberg. C’est ainsi qu’une photo originale floue et en noir et blanc avec les tours jumelles de Manhattan en toile de fond va révéler bien des secrets.
L’auteur manie avec subtilité les mots pour exprimer les multiples souffrances que peut traverser un être humain, comme la solitude, le besoin d’amour, les pulsions négatives, la maladie, le deuil, dans un style à la fois comique et tragique.
Une fuite en avant qui semble bien être un exutoire à certaines émotions envahissantes et destructrices.


L’écharpe bleue

 

Sous l’œil de l'ange

Roman fantastique

 

Enfant différent aux capacités hors norme, à 7 ans, il tue sa mère parce qu’il ne l’aime pas. C’est comme ça. Une fillette qui communique avec lui depuis l’au-delà va lui révéler qui il est vraiment.

Sa vie d’adulte sera marquée par une quête de justice, sa carrière d’avocat émaillée d’une série de vengeances.

Ce roman dépeint une histoire d’amour qui n’a rien de banal et aiguise la curiosité dès l’introduction. Son rythme entraînant au ton empreint de cynisme et d’humour noir embarque le lecteur jusqu’au dénouement inattendu.


L’écharpe orange

 

Un oiseau sur l’épaule

Roman feelgood

 

Une vérité à double-fond percute Marie, alors qu’un vieil homme lui propose son bras, qu’elle rencontre le mystérieux Andy et son oiseau vert, qu’elle découvre le Squat et que réapparait Kairos, une sphère qui appartenait au sculpteur Alex, disparu en forêt amazonienne et avec lequel elle était mariée. Parce qu’un matin de fort soleil, la réalité permute et change de sens, qu’une « ex » s’incruste entre elle et Richard, le nouvel homme de sa vie, Marie comprend qu’elle doit braver les incohérences, affronter le traumatisme qui a abimé la peau fine de son être, empoisonne son existence de mère et de femme. Elle décide de rentrer en Guyane démasquer la vérité et, peut-être, retrouver Alex. Son périple l’emmène jusqu’à Awala-Yalimapo, un village amérindien. Sur les rives du Maroni, les contours se floutent davantage… Là-bas, « on l’attendait ».

Marie va traverser les apparences. Qui sait, si elle y trouvera la paix, cette plume d’oiseau ?

 

© Rivière de Cayenne - Pont du Larivot, Marie St-Vaast - 2012


L’écharpe blanche

 

Les mots sur les os

Récit

 

Avec son ouvrage Les mots sur le os, l'autrice nous confie son témoignage intime sur une maladie encore méconnue ou mal connue et qui de fait recèle de nombreux mystères : l'anorexie mentale, en l'occurrence chez l'adulte.
Elle nous propose un recueil de textes courts qui sont vibrations, réflexions, scènes de vie, cris du cœur ou coups de poing et qui réunis, constituent un éclairage sur la maladie. Une manière de soutenir ceux qui en souffrent, mais aussi leurs proches, et plus largement quiconque aimerait s'affranchir d'une vulnérabilité psychologique.
Dans le vaste monde de la santé mentale, sur ces chemins tortueux, Céline se fait colibri et sème humblement quelques graines de lumière...


L’écharpe orange

 

La route est belle

Roman

 

Chaque jour, sur nos routes, nous croisons des centaines de camions, des files ininterrompues, interminables processions, qui, vues du ciel, sont semblables à des serpents rampants et ondulants.

À leur bord, des chauffeurs pour la plupart masculins, mais aussi quelques femmes courageuses qui ont réussi à s’imposer dans cet univers rude, viril et si exigeant. Natacha est l’une d’elles et nous raconte son histoire avec en filigrane le récit d’une rencontre improbable au volant de son 38 tonnes.

Au moyen d’une narration alternée La route est belle raconte le quotidien de Natacha et de Pierre ; l’une doit jongler avec ses multiples obligations de mère, de routière et également de femme, l’autre, peintre fortuné, qui en dépit de la place de l’art dans sa vie, souffre de solitude.

Au travers des thèmes de l’amour, de l’art et des relations familiales conflictuelles, le texte traite des difficultés à tracer son propre chemin. Ce faisant, l’auteur confronte un univers essentiellement masculin, le monde de la route et des routiers, avec les projections relatives à la place des femmes dans la société, grâce à une héroïne qu’on n’est pas près d’oublier.


 

L’écharpe verte

 

Le Chant des paroles

Chroniques

 

Le Chant des paroles regroupe un ensemble de chroniques poignantes.

La première est une invitation à entrer dans l'intimité d'Erwan, un être en quête d'identité confronté à la perte affective et à la fuite du temps. Alors qu'il se retourne sur son passé pour embrasser son avenir, entre les vagues du Danemark et les souvenirs d'une vie tumultueuse, le lecteur est convié à suivre tout un parcours émotionnel. Un voyage initiatique qui permet d'explorer les profondeurs de l'âme et la puissance de la résilience.

La seconde fait appel aux échos les plus mystiques en soi, par la voix d'un personnage aussi solitaire que mystérieux.

La troisième est une suite de récits éclatés dévoilant poétiquement les secrets de l'auteur.

Le tout est une ode à la vie, à l'amour et au destin, dans un style atypique, symbolique, ironique, brillamment pénétrant.


L’écharpe noire

 

Par-delà les ombres

Roman noir

 

Dans ce roman, il est question de la perception, du monde, des autres, de nous-même. Ce que l’on pense laisser transparaître. Ce que l’on imagine pouvoir observer chez les autres. Et la réalité qui se trouve sans cesse remise en cause, jusqu’à en perdre le fil, jusqu’à parfois ne plus savoir la distinguer.

 

Paul observe le monde. Léonard le craint. Simon souhaite le magnifier. Le temps d'une vie, le temps d’une nuit, ces trois êtres singuliers vont valser au rythme d’une même mélodie. Étrange. Oppressante. Macabre. Chacun influencé par sa manière de percevoir, de ressentir. Chacun prisonnier de son propre esprit.

 

Tout au long de l’intrigue, l’auteur reste animé par cet attrait pour ce que l’être humain a de dérangeant et de violent. Un texte qui continuera de nous interroger longtemps.


L’écharpe orange

 

Un si bel engagement

Romance

 

Cette œuvre se veut un miroir des choix et des sacrifices qui jalonnent nos vies amoureuses. Elle interroge la nature des engagements que l’on prend, entre passion et responsabilité, entre passé et futur. Frank devra naviguer entre ces deux mondes, poussé par le cœur et la raison, pour découvrir quel amour sera le plus prépondérant dans cette danse tumultueuse de l’existence.
Cependant, la vie, avec sa cruauté et sa beauté, impose un tournant décisif. Un événement tragique et émotionnel pousse Frank à retourner sur ses terres natales, au Cameroun, le lieu chargé de souvenirs avec son premier amour, Issa. Dans cette évasion, il se heurte à la dualité des émotions : le doux parfum de la nostalgie l’emporte à la rencontre de son passé tout en le détournant de son présent.
Un récit vibrant qui explore les méandres du cœur humain, où chaque décision compte et où l’amour, dans toute sa complexité, se révèle parfois être le plus grand des défis.


L’écharpe jaune

 

Le faux du vrai 

Cosy mystery

 

Le commissaire principal Paul Berger ne fait décidément rien comme tout le monde. Alors que d’autres, après de longues années de service dans la police judiciaire, n’aspirent qu’à une retraite bien méritée, lui, continue sa carrière.

Accompagné d’une charmante adjointe, il va arpenter bien des chemins tortueux au point de former avec elle un duo d’enquêteurs.

L’aventure commence dans un quartier paisible où une voisine animée de bonnes intentions se veut vigilante.

Le mystère se cache dans un obscur laboratoire d’alchimie où parmi les fioles se faufile l’ombre d’une odieuse créature…

Quand le crime se double de surnaturel, nombre de policiers peuvent se sentir déboussolés. Le fin limier va alors affronter l’impensable. Seule sa ténacité lui permettra de mener à terme une enquête forte en rebondissements et faux-semblants.  L’amour des siens lui sera d’un grand réconfort.

***

Ce livre est le dernier-né de la collection Le Grogneux, des histoires, indépendantes et complètes, disponibles en ligne ici.


L’écharpe blanche

 

La collègue

Conte moderne/ Novella

 

Fatima est une jeune femme en quête de repères dans un monde qui lui semble souvent énigmatique. Elle s’efforce de donner le meilleur d’elle-même, cherchant à se faire apprécier par ceux qui l’entourent. Cependant, elle se heurte au racisme de sa collègue et à la méfiance de son quartier, ce qui rend son parcours encore plus difficile.

Un jour, Fatima fait la rencontre d’un vieil homme sage, dont la bienveillance et les paroles inspirantes vont bouleverser sa vie. Cet homme, avec sa sagesse accumulée au fil des années, aide Fatima à découvrir des facultés et des talents qu’elle n’aurait jamais imaginés posséder. Grâce à lui, elle commence à voir le monde sous un nouveau jour et à comprendre sa propre valeur.

Cette rencontre marque le début d’une transformation profonde pour Fatima. Elle développe une nouvelle compréhension de son existence et de sa place dans le monde. Peut-être est-ce l’aube d’une nouvelle vie pour elle, une vie dans laquelle elle pourra enfin s’épanouir pleinement et trouver la paix intérieure qu’elle recherche depuis si longtemps.


L’écharpe blanche

 

Les nouvelles d'un ciel troublé

Histoires brèves

 

Florence ALBERTANI, architecte de formation, se consacre à l’écriture dès la fin de ses études en 2009. Après Les poèmes du tarot et Le voyage du mat, elle publie aux éditions L’Écharpe d’Iris Les nouvelles d’un ciel troublé, un recueil de dix nouvelles qui nous transportent entre le monde fantastique et la réalité.

Le recueil s’ouvre avec Une folie surprenante qui raconte l’histoire de Marc, après une nuit de fête et d’alcool, se réveillant avec des souvenirs flous d’une danseuse nommée Eva. Un enfant terrible parle de la curiosité d’un enfant qui le mène, à la nuit tombée, dans le sous-sol mystérieux de sa maison. L’octogénaire aux mille regrets raconte l’histoire d’une vieille femme obsédée par sa jeunesse perdue, qui croise la route d’un « bon Samaritain ». Les intrigues d’un couple intrigant suivent une jeune femme qui soupçonne son futur mari d’infidélité. Le temps et ses révélations utiles explore la psyché d’un homme se sentant abandonné par sa femme. L’homme aux secrets bien gardés relate la métamorphose d’un homme après un voyage en Inde. Le récit Marc et Laura dépeint un mariage où rien ne se passe comme prévu. Un homme malchanceux est un hymne mordant au karma. Coupable d’être met en scène une confrontation impossible entre une juge froide et un homme sur le banc des accusés. Un laborantin fétichiste nous plonge dans les méandres de la prison intérieure d’un savant fou vivant en ermite. Enfin, Le tigre se dompte à l’intérieur clôture la série avec une histoire folle de fauve et d’acrobate déchu.

Toutes ces nouvelles partagent un point commun : une multitude de rebondissements qui révèlent toute la saveur de lectures au coin du feu, réconciliant notre âme d’enfant en quête de frisson.


L’écharpe jaune

 

Le mystère Émilie 

Cosy mystery

 

Ce roman policier, plein de charme et écrit avec élégance, nous plonge dans une intrigue où un mystérieux escarpin dressé sur le pavé devient d’entrée de jeu un personnage clé de l’histoire.

La couverture, illustrant une rue nocturne éclairée par un réverbère et l’ombre d’une silhouette féminine, instaure immédiatement une atmosphère de suspense.

Le commissaire surnommé « le Grogneux », un homme bourru, mais profondément humain, est sur le point de prendre sa retraite. Malgré son caractère grincheux, il est respecté pour son sens aigu de la justice et son expérience. À travers ses yeux, nous rencontrons une galerie de personnages, chacun décrit avec une attention particulière, qu’ils soient suspects, témoins ou simples passants, ceux-ci enrichissent l’intrigue par leurs histoires et leurs secrets.

Le dénouement, inattendu et habilement construit, révèle des vérités cachées et des motivations insoupçonnées.

 


L’écharpe blanche

 

Être un poisson

Histoires brèves

 

Dans le recueil Être un poisson de Marie CHARLES-DOMINIQUE, plusieurs récits ou courtes nouvelles explorent les liens parfois étranges, parfois saugrenus, qui révèlent le tissu du monde, en perpétuelle évolution. Ils témoignent du déséquilibre de notre époque (la guerre, le changement climatique, le terrorisme, la montée des extrémismes) et explorent les interstices du Réel où apparaissent de nouvelles floraisons.

L’un des récits, L’escalier, met en scène Muriel, aux prises avec des événements déroutants qui vont la mettre au défi de gravir un escalier mystérieux. D’autres histoires mettent en lumière les expériences de personnages confrontés à des événements tragiques, des enjeux sociaux, des phénomènes inexplicables et la quête de sens dans un monde inachevé. Le ton oscille entre une atmosphère angoissante et l’espoir de la sérénité qui advient de façon inattendue, au cœur des expériences mêmes.


L’écharpe blanche

 

Un rendez-vous de rêve

Roman

 

« Elle ! Si longue et si jolie femme à la douce brillance, dont la photo était dans ma chambre comme une étoile volée au ciel, déesse tendre dont j’avais tant rêvé qu’elle en était irréelle, si improbable visiteuse, si mystérieuse passante de mes rues de pèlerinage : elle ! Mon rendez-vous tant désiré se produisait donc, à ma demande faite au destin, mais pas sous la forme rêvée. Je restai stoïque autant que faire se peut quand on est blême, laissant un simple « bonjour » quitter mes lèvres sèches et m’écartant pour la laisser entrer. »
Le destin de Jason est-il en train de se décider ? La puissance des sentiments du jeune homme pour la belle Léna l’emmenant au-delà des rendez-vous de l’amour, la grandiose cathédrale l’entraînant souterrainement dans la célébration de son millénaire, le labyrinthe de son existence lui imposant les plus tortueuses aventures intérieures, le roman sans fin qu’il écrit, les pouvoirs druidiques de sa tante Armelle et de ses mystérieux mélanges, les étranges inconnus n’apparaissant en cette saison que pour s’immiscer dans son quotidien solitaire, tout se mêle de dépasser les bornes de sa vie en cet automne 2024. Jason oubliera-t-il son rêve en changeant de réalité ?

Du même auteur : Livre Le Chant des paroles


L’écharpe jaune

 

Contes de Mof Awii

Contes africains

 

Les Contes de Mof Awii sont un recueil vibrant de récits traditionnels joola qui allie la sagesse ancestrale et la vie quotidienne en Casamance (Sénégal).
Les animaux, savamment anthropomorphisés, deviennent des porteurs de messages universels, touchant les cœurs et les esprits des jeunes et des moins jeunes.
À travers des personnages emblématiques comme Jafora-la Perdrix et Jáñiik-l’Éléphant, ces fables riches, teintées d’humour et de profondeur, nous enseignent l’amitié, le respect des aînés et l’harmonie avec la nature.
L’auteur, Añiil Mof Awii, plonge le lecteur dans un univers riche en émotions et en culture, illustré avec passion. Ces contes sont un précieux héritage culturel qui invite à redécouvrir nos racines.
C’est un voyage fascinant au cœur de la tradition joola, où chaque page vous transportera dans une aventure inoubliable.


L’écharpe bleue

 

La cité antique de la montagne

Roman

 

Dans les hauteurs tempétueuses de l’Isaméare, un vagabond solitaire, Eonrald Quezvas, entreprend un périple intérieur aussi exaltant que destructeur. Fuyant la routine étouffante de sa ville natale, il s'enfonce dans un voyage où l’errance se transforme en quête de sens, explorant les mystères de l’existence entre ombres et lumières.

À travers des chapitres à la fois poétiques et déchirants, « La Cité Antique de la Montagne » nous entraîne dans un univers onirique où chaque pas sur ces sentiers inconnus révèle la complexité de la nature humaine. Au-delà de l'espoir et de l'angoisse, ce roman interroge la place de chaque individu dans un monde où la lumière et les ténèbres cohabitent.

Dans un souffle épique, ce récit captivant oscille entre introspection et voyage initiatique. À la croisée des chemins, Eonrald doit faire face à ses choix : continuer à s’enfoncer dans l’oubli ou embrasser une destinée inédite, là où les vérités anciennes et les rêves de renouveau s’entrelacent.

La Cité Antique de la Montagne est un appel à la découverte de soi, un cri du cœur pour ceux qui osent explorer l’inexploré dans la quête d’un sens à leur existence.


L’écharpe noire

 

Rire d'Ombre

Nouvelles noires

 

Ce court recueil regroupe sept nouvelles noires, qui sont construites autour de personnages psychologiquement fragiles et bancals.

Sur des sujets très sérieux comme le drame amoureux, l’eugénisme, ou encore le harcèlement scolaire, il raconte avec cynisme, et beaucoup de flegme, des histoires loufoques, improbables et intemporelles.

L'ouvrage qui ne se prend jamais au sérieux, jongle entre glauque et fantaisie, même dans sa noirceur, on peut voir surgir un second degré qui rend le récit plus léger.

Les récits sont donc teintés d'ironie et illustrent à quel point la quête de l'idéal, que ce soit dans les relations, les apparences ou les ambitions personnelles, peut conduire à la désillusion et à la tragédie.

Lucie Laplanche utilise la noirceur non seulement comme un élément de choc, mais aussi comme un moyen de révélation des vérités souvent oubliées ou ignorées sur notre société. 

Dans un style simple, il explore les travers de l’âme humaine.


Représentation du livre susceptible de changer jusqu'à la publication.

Bientôt de nouveaux livres, beaucoup d’auteur(e)s ont fait confiance à L’Écharpe d’Iris en envoyant leurs manuscrits.